Cette journée de réflexion a été consacrée à la sécurisation de l’accès au sol et à l’habitat dans les villes du Sud, et notamment aux marges de celles-ci, dans les quartiers dits précaires ou informels. Elle s’inscrit dans la continuité des débats initiés lors de la 3e conférence mondiale des Nations unies sur le logement et le développement urbain durable (Habitat III), qui s’est tenue à Quito en 2016. Lors de cette conférence, un nouveau programme pour les villes, appelé le Nouvel agenda urbain, mettant le renforcement de la sécurité des droits pour tous et la reconnaissance de la pluralité des régimes fonciers au coeur de ses préoccupations, a été adopté.
Cette journée avait pour objectif de faire un état des lieux des connaissances produites et informations disponibles sur la situation dans les pays, à partir des travaux menés par les membres du Comité et son réseau, et d’approfondir plus particulièrement celles faisant écho aux deux derniers chantiers du Comité, sur la formalisation des droits d’une part, et la gestion en commun du foncier d’autre part.
